Trek à Madagascar : ses différents impacts à connaitre
Le trek est un concept alliant sport et tourisme qui est en plein essor. Cette pratique sportive permet aux adeptes de vivre une expérience unique en pleine nature. Elle se présente également comme un moyen leur permettant de découvrir des sites et des paysages divers à travers des sentiers parfois escarpés. Cependant, le trek à Madagascar n’est pas une activité sans conséquences sur l’environnement. Il peut, en effet, avoir des impacts sur les écosystèmes fragiles et les habitats naturels. Cela requiert alors beaucoup d’attention et une prise de conscience de la part des prestataires de voyage et des voyageurs. Voici plus d’infos.
La préservation de la nature lors d’un trek à Madagascar
L’un des principaux défis auxquels le trek à Madagascar est confronté est la protection de la nature et des sentiers. En plus de la destruction causée par les érosions, le passage répété des coureurs les rendent encore plus fragiles. Tous les éléments qui se trouvent autour, dont notamment les espèces végétales et animales, sont mis en danger. Cela compromet d’un côté l’expérience des pratiquants du trek à Madagascar et d’un autre côté la biodiversité locale. Au fil du temps, la qualité des habitats naturels se dégrade aussi. Et sur le long terme, l’endroit devient non intéressant. Les ressources pour les prestataires en tourisme et les activités annexes seront donc touchées.
Afin de minimiser cet impact, il est crucial de prendre des mesures au préalable. Il s’agit de faire respecter les principes visant à respecter la nature aux coureurs. Ils ne doivent laisser aucune trace de leur passage sur les sentiers et les sites visités. Il est également essentiel de contourner les zones sensibles.
L’adoption d’une attitude respectueuse de l’environnement
Les organisateurs de trek ou encore les guides doivent imposer à tous les participants du trek à Madagascar une séance d’instruction pour les briefer. Avant de prendre le parcours, ils doivent connaitre tous les impacts environnementaux du trek. Ils doivent par ailleurs connaitre d’autres aspects tels que la préservation des espèces animales et végétales ou encore la gestion des déchets. De cette manière, ils sauront qu’ils ne devront pas laisser sur leur chemin des déchets comme les emballages de nourriture, les bouteilles en plastique, etc. Ce sont des éléments qui polluent l’environnement naturel. Ils représentent alors des dangers pour la faune et la flore.
En outre, les pratiquants du trek à Madagascar doivent connaitre certaines périodes cruciales pour les espèces animales en particulier. Il y a des saisons de reproduction ou de nidification qu’il faut respecter. Pendant ces moments, les animaux ne doivent pas être dérangés. Ils ont besoin de tranquillité.
Les impacts positifs du trek à connaitre
Le trek à Madagascar est un moyen efficace pour promouvoir le tourisme local. Il permet de financer de divers projets ayant pour objectif de conserver l’environnement. Les participants peuvent être sensibilisés et faire des dons pour restaurer des sentiers, des sites, des monuments, etc. Les recettes peuvent aussi être utilisées pour développer la communauté locale.
Cette pratique sportive peut aussi générer des revenus pour les habitants. Certaines associations ou organismes divers, organisent différentes opérations comme la restauration ou encore l’hébergement des touristes. Cela leur permet d’avoir des ressources financières. De loin, le trek à Madagascar peut donc impacter le développement économique local. Tout cela incite les locaux à préserver l’environnement, car une partie de leurs ressources dépend de la venue des pratiquants du trek.