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Polémique autour de Sophie la Girafe où en est-on ?

Sophie la Girafe

En matière de cadeau de naissance ou d’anniversaire, Sophie la girafe est certainement l’un des présents les plus incontournables. Indémodable et capable de s’adapter à tous les besoins, ce fameux jouet en caoutchouc est notamment symbolique pour la petite enfance. Cependant, une polémique met de l’ombre sur la réputation de Sophie dans l’univers du jouet. Voici les points essentiels.

Un véritable jouet de la petite enfance 

Comme on le connaît tous, Sophie la girafe un jouet adoré par les nouveau-nés. Cela fait maintenant 60 ans que ce jouet reste fidèle à ses engagements. C’est-à-dire, être à la fois un jouet de dentition de référence. Tout en étant un stimulateur efficace pour éveiller les sens du bébé. Mais en plus, celui d’être un jouet écologique, fabriqué avec du caoutchouc 100 % naturel et écologique. Ce qui fait la différence avec Sophie et les autres jouets proposés sur le marché c’est que la petite girafe est un jouet de fabrication artisanale. En effet, chaque étape de sa conception est faite à la main. Cela implique donc le fait que le processus de fabrication de Sophie n’est pas pris à la légère. Mais en vain, Sophie se retrouve depuis un certain temps au milieu d’une polémique comme quoi, ce fameux jouet serait toxique. Mais qu’en est-il réellement ?

Quel danger Sophie représente-t-elle ?

Il y a eu une période où des images de Sophie la girafe contenant de la moisissure faisaient le buzz sur le net. Cependant, ce problème était lié à une mauvaise utilisation du jouet. Plus tard, une enquête menée sur le jouet affirme que Sophie la girafe est susceptible de libérer des précurseurs de nitrosamines. Selon des études, il semblerait que ces substances seraient présentes dans le caoutchouc. Et qu’en cas de longue exposition à ces éléments, des risques de cancer pourraient alors se développer. Les experts stipulent que la valeur limite à prendre en compte serait de 1 mg. Et pourtant, il semblerait que Sophie la girafe serait encore loin de la moyenne. Selon le fabricant, la sève d’hévéa avec laquelle le caoutchouc pour Sophie est produit est 100 % naturel. D’autant plus que chaque unité fabriquée est suivie d’un numéro pour garantir une traçabilité irréprochable. Cela implique même des analyses réalisées avant la commercialisation. Vulli collabore d’ailleurs avec plusieurs laboratoires pour procéder à ces analyses.

Une fabrication qui n’est pas prise à la légère

Le fabricant Vulli met l’accent sur le fait que les jouets Sophie la girafe subissent des tests rigoureux avant d’être commercialisés. Ces tests sont même réalisés auprès de plusieurs laboratoires dans des pays où les normes sont les plus exigeantes. C’est le cas pour l’Allemagne, le Japon, et les États-Unis. Ces normes en question sont mises en place en guise de précaution, et pas seulement à titre d’alerte. C’est alors que le fabricant garantit et affirme être sûr des composantes qu’il utilise pour Sophie. En ajoutant qu’aucun processus de transformation n’est impliqué dans la conception du jouet. Tout en mentionnant que ses usines de production n’utilisent que des produits naturels. En revenant aux nitrosamines, il faut aussi savoir que Sophie, ni le caoutchouc, ne sont pas les seuls susceptibles à les présenter. D’autres éléments bien courants au quotidien peuvent aussi être des précurseurs de nitrosamines. Et ce, à l’exemple du bacon, du pain grillé, ou encore de la bière.

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